Que fait un Data Analyst ?

Un Data Analyst croise les données d’une entreprise avec celles qui se trouvent sur les canaux digitaux et le web. Son objectif est d’interpréter ces données, en comprendre la valeur afin que le dirigeant puisse s’en servir au profit de son entreprise. Pour y parvenir, il va mettre au point des algorithmes et des modèles d’analyse afin de rassembler et traiter ces données. Il collabore avec le Data Scientist dans ces démarches.

Ensemble, ils cherchent les sources de données les plus pertinentes, ils les internalisent et les externalisent. Ils en font l’évaluation et les restituent dans le système d’information. Ces deux professionnels mettent en œuvre des compétences informatique, statistique et leur connaissance des bases de données. Étant donné que le Data Analyst a pour mission d’augmenter le nombre de clients de l’entreprise, il analyse l’impact des actions marketing.

Pour cela, il suit les outils Data mining. Il essaie de comprendre les tendances de consommation ou d’achat des clients, détermine leurs besoins et élabore leur profil. Si le métier de Data Analyst vous intéresse, sachez qu’il exige un sens de l’organisation et de la rigueur. Vous devez être également passionné des statistiques et des chiffres pour réussir.

Vous devez aussi être une personne de confiance capable de respecter les règles de confidentialité. Le fait est que les données que vous collectez, triez, stockez et traitez sont sensibles et stratégiques. Comprenez aussi que votre rôle au sein d’une entreprise est important puisque votre mission d’analyse figure parmi la stratégie de celle-ci.

Les formations à suivre pour devenir Data Analyst

Être titulaire d’un Bac + 4 ou d’un Bac + 5 en informatique, statistiques, marketing ou management. Voilà la base pour occuper le poste de Data Analyst. Cependant, à ce jour, il n’existe encore que peu de formations spécifiques dédiées au métier de la Big Data. Voici quelques exemples : niveau Bac + 3, licence professionnelle métiers de l’informatique. C’est un cursus que vous pouvez suivre à l’Université de Bourgogne.

Pour une licence professionnelle métiers du décisionnel et de la statistique, filière ingénierie de données, c’est à l’Université de Pau. Pour le parcours Data mining, c’est à Paris Descartes. Il y a aussi le parcours Data Analyst, Master 2 de l’IA School. Il s’adresse à ceux qui ont déjà suivi le Master 1 en Artificial Intelligence & Management de l’IA School, vous pouvez voir ici pour plus d’informations. Vous pouvez y être admis si vous êtes titulaire d’un Bac + 4 en informatique, en mathématiques, ingénieur ou statistique.

L’admission est possible si vous avez un niveau intermédiaire en programmation Python, R et en mathématiques. Pour un niveau Bac + 5, le Master MIAGE, c’est via un parcours en Data Science à l’Université de Rennes. Pour un niveau Bac + 6, un Master spécialisé, c’est à l’Ensimag + EMSI École de management de Grenoble.

Optez pour les secteurs classiques

Trois secteurs dont la restauration, le commerce et les services à la personne, offrent le plus d’emplois à mi-temps que d’autres. Les profils courants qui arpentent ces domaines sont les étudiants ou les personnes avec des impératifs familiaux, qui cherchent à reprendre progressivement une activité. Toutefois, comme les conditions sont généralement précisées dans l’annonce, ces secteurs ne sont donc pas propices à la négociation.

Offrez vos services aux petites entreprises

La recherche d’emploi à temps partiel est moins aisée en dehors des secteurs évoqués précédemment. Pour y remédier, intéressez-vous aux petites et moyennes entreprises. En effet, faute de budget pour des recrutements à temps plein, elles cherchent parfois des profils à mi-temps. D’ailleurs, c’est la nouvelle tendance actuelle.
Une PME peut, par exemple, solliciter le service d’un expert-comptable, uniquement pour quelques heures hebdomadaires. Plusieurs opportunités peuvent donc s’offrir à vous, selon la réputation de vos qualités de service, dans le cas où vous souhaitez augmenter votre temps de travail. Ainsi, vous avez une souplesse et une flexibilité de postuler auprès d’une seconde ou une troisième structure.

Apprenez à négocier auprès des employeurs

Trouver un emploi à mi-temps est de moins en moins associé à la précarité. En effet, dans le cadre d’une recherche de flexibilité, cela se fait de plus en plus. L’enjeu est donc de négocier auprès des employeurs, dans ce genre de situation, afin qu’ils vous accordent un trois ou quatre cinquièmes. Lors des négociations en entretien de recrutement, sachez que cela est de plus en plus évoqué.
Au final, certaines entreprises recrutent un postulant à mi-temps alors qu’elles recherchent à la base, des candidats à temps plein. Au cours des dernières années, cette situation a pas mal évolué. En raison de leur temps effectif de travail hebdomadaire compté, les salariés à temps partiel sont plus efficients.

Pensez au statut d’indépendant

Pour bénéficier d’une certaine autonomie, l’autre option est d’être totalement maître de son temps. L’objectif ici n’est pas de monter sa propre entreprise, mais d’opter pour des alternatives plus pertinentes telles que vendeur à domicile ou encore le statut de téléprospecteur indépendant.
Ces secteurs n’arrêtent pas de recruter et ils sont en évolution constante. Le statut d’indépendant vous offre ainsi une grande flexibilité, notamment si vous êtes à la recherche d’un complément de revenu, ou si vous cherchez à en faire une carrière.

Comment les Français considèrent-ils le travail ?

Acheter une maison ou un appartement, une voiture, payer des voyages et d’autres choses aussi importantes mais aussi des futilités, juste pour le plaisir, c’est à cela aussi que sert le travail. Pour une poignée de passionnés, le travail leur permet de s’accomplir personnellement. Les familles donc réfléchissent bien à l’avance à l’orientation professionnelle de leurs enfants et mettent un point d’honneur à choisir pour eux la meilleure université, les meilleures formations, bref, les études qui ouvriront la voie à un travail rémunérateur et pourquoi pas, prestigieux.

Les Entreprises idéales pour les Français

Des études montrent régulièrement les préférences des Français sur ce qu’est le travail idéal, les conditions idéales, le type de contrat et le type d’entreprise qu’ils intégreraient etc. Ces études révèlent également leur conception du travail et du marché de l’emploi, leurs attentes et leurs priorités sur le plan professionnel. Pagegroup par exemple réalise ce genre d’enquêtes, nous informant ainsi de la perception qu’ont les Français du travail. Il a donc été révélé que les Français ne sont pas vraiment adeptes des startups. Même si telle ou telle entreprise reçoit la reconnaissance internationale ou acclamée par d’autres entreprises pour la qualité de leur production ou pour leurs chiffres d’affaires mirobolants, ce ne sont pas des arguments intéressants pour le Français. Presque 80% d’entre eux préfèrent une entreprise à taille humaine.

Et les startups ?

Les Français n’ont pas vraiment de l’attirance pour les startups. Selon les sondages, ils ne seraient que 3% à vouloir en intégrer une, chiffre plutôt étonnant. En fait, la majorité bouderaient les startups et s’ils le pouvaient, travailleraient dans un PME où travaillent moins de 250 personnes ou tout au moins dans une ETI employant entre 250 et 5000 salariés. Les entreprises avec un personnel de plus de 5000 ne les intéressent aucunement ou plus précisément, il n »y aurait même pas 15% d’entre eux qui aimeraient travailler dans ce type de sociétés.

Que dire du CDI et du CDD ?

Le CDI reste une référence pour pratiquement tous les Français. Plus de 90% des personnes en recherche d’emploi préfèrent le CDI, alors que seulement 12% souhaitent le statut de freelance. Ce statut ne donne pas aux Français le sentiment de stabilité et de sécurité qu’ils attendent d’un emploi. Même parmi la jeune génération, ceux qui ont moins de 30 ans, le CDI reste le type de contrat privilégié. Toutefois, le CDD est une forme de contrat de plus en plus envisagée, pour la liberté qu’elle offre. L’intérim et le travail temporaire commencent aussi à gagner les faveurs. En plus, aujourd’hui, les postulants tiennent compte de l’ambiance au travail, l’intérêt des tâches et l’équilibre vie processionnelle/vie privée.

La vente de produits en ligne

La vente en ligne connait énormément de succès. En effet, les consommateurs se tournent désormais vers Internet pour chercher et acheter ce dont ils ont besoin, surtout en ces temps critiques où la pandémie du SRAS-COV-2 sévit un peu partout dans le monde. Une boutique en ligne a par conséquent des chances d’avoir du succès. Grâce aux outils en ligne, la création d’une boutique est devenue plus simple. En quelques minutes, vous pouvez créer et avoir une boutique opérationnelle. Vous n’aurez plus qu’à établir une stratégie marketing pour attirer les clients et vendre vos produits. Vous n’avez pas forcément besoin d’avoir une boutique physique, mais en revanche, il vous faudra gérer le stockage et la logistique. Si vous vous y prenez bien et que vous consacrez du temps à votre business, vous pouvez gagner un revenu important.

Le dropshipping

Le dropshipping est une méthode de vente en ligne. Il permet de se lancer dans la vente sans avoir besoin de stock. Tout ce que vous avez à faire, c’est de vendre le produit d’une entreprise ou d’une marque. Lorsqu’un client achète, vous ne faites qu’encaisser, car la livraison de l’article est gérée par le fournisseur avec lequel vous collaborez. C’est un bon moyen pour débuter dans l’e-commerce étant donné qu’il ne nécessite pas un investissement initial conséquent. Vous devez toutefois faire attention à bien choisir les produits que vous vendez et un fournisseur sérieux avec qui travailler. Si un produit est difficile à vendre, vous ferez peu de bénéfice même si c’est vous qui déterminez la marge de chacune de vos ventes.

Le Multi-Level Marketing (MLM)

Le MLM est relativement similaire au dropshipping. En effet, il vous donne énormément de liberté et vous permet de gagner un revenu potentiellement conséquent. Vous travaillez à votre compte, directement depuis votre domicile. Le MLM offre l’avantage de pouvoir générer facilement des revenus passifs. Pour cela, vous aurez besoin de vous constituer un réseau d’affiliés. Sur chaque vente que réaliseront ces derniers, vous pourrez retirer une commission. Mais vous devez éviter de vous reposer uniquement sur vos affiliés pour réaliser vos ventes. Le plus dur en MLM, c’est de constituer son réseau de clients et d’affiliés et de le maintenir stable. Les outils proposés par marketingdereseau.net peuvent toutefois vous aider à réussir dans cette tâche.

Faire du marketing d’influence en devenant influenceur

Le Marketing d’influence est né du succès des blogs et des réseaux sociaux. Les entreprises ont compris qu’une personne ayant une certaine notoriété a plus de chances de faire connaitre un produit ou une marque auprès d’une communauté. Afin d’atteindre le plus de clients potentiels, les entreprises se servent alors d’influenceurs. Ces derniers, en échange d’une compensation, font la promotion des entreprises qui les sollicitent auprès de leurs communautés. Pour les personnes ayant une communauté conséquente, le métier d’influenceur peut devenir très rentable. Mais pour devenir un influenceur, il faut fournir des efforts sur une certaine durée. Vous devez captiver les internautes sur les réseaux sociaux et toujours proposer des nouveautés sur votre blog.

Que fait un rédacteur technique ?

D’une manière générale, la mission d’un rédacteur technique porte sur la production de documents à caractère technique ou spécialisé. Il s’agit de modes d’emploi, de guides pratiques, de manuels d’utilisation, de livres blancs, etc. Il assure la traduction d’une documentation technique en un langage plus facile à assimiler par les utilisateurs. Il rédige lesdits documents uniquement après avoir vérifié la conformité des données. Dans ce cas, ses services s’adressent aussi bien au grand public qu’aux professionnels spécialisés. Dans tous les cas, un rédacteur technique peut avoir un ou plusieurs sujets à maîtriser à savoir l’aéronautique, l’automobile, ou autres domaines scientifiques et techniques.

Quelles sont les qualifications nécessaires ?

Pour devenir rédacteur technique, il faut suivre des formations auprès d’un centre de formation ou d’une université. Dans le meilleur des cas, détenir un diplôme universitaire et suivre par la suite une formation sur le terrain est un atout essentiel pour le métier. Il existe de nombreux choix quant à une spécialisation après les trois années d’études académiques. Selon vos préférences, vous pouvez approfondir différents domaines comme le médical, la scientifique et la technique. Vous pouvez aussi choisir de suivre des formations parallèles notamment en écriture et dans un autre domaine technique.

Quelles sont les opportunités offertes par le métier ?

Le métier de rédacteur technique est une option de carrière plutôt prometteuse. En moyenne, les débutants sont rémunérés dans les environs de 2 000 euros par mois. Comme tout emploi, le salaire est fonction des qualifications du rédacteur et du secteur d’activité. Aussi est-il plus avantageux d’avoir un niveau élevé de connaissances à son actif. En développant ses capacités et avec de l’expérience, un rédacteur technique peut aspirer à des postes dans la direction d’une équipe de documentation au sein d’une entreprise d’envergure.

Le lien de subordination

Si certains voient comme un avantage, l’existence d’un lien de subordination au travail entre un couple, il peut s’avérer très dangereux. L’un ou l’autre pense certainement bénéficier d’un traitement de faveur par rapport aux autres salariés négligeant ainsi ses tâches ou obtenir sans effort des promotions. Certains n’hésitent même pas à faire du chantage affectif pour satisfaire ses besoins. Inversement, il arrive que le chef hiérarchique agisse de la même manière avec son partenaire même en dehors du travail, le voyant comme son subordonné ou son assistante devant répondre obligatoirement et immédiatement à ses demandes. Ce qui met en péril la relation de couple.

Emmener ses problèmes conjugaux au travail

Pour garder la frontière professionnelle et personnelle, il est important de laisser les problèmes de couple à la maison. Le bureau n’est pas un endroit pour se disputer ou faire des scènes de jalousie. Focalisez-vous sur le sérieux de la profession et ayez le sens de l’humilité. Vous devez même faire semblant d’aller mieux pour ne pas attirer l’attention des curieux. Inversement, à la maison, oubliez le travail et concentrez-vous sur votre vie votre familiale.

Les bavardages

Bien que vous voulez partager vos problèmes à vos collègues, mieux vaut s’abstenir notamment quand vous êtes au bureau. Les bavardages conduisent au ragot et au conflit dans une vie de couple. Vous pouvez avoir une vie sociale sans mettre sur le tapis votre vie personnelle. En respectant cette condition, vous sauvez votre union et votre réputation.