Que fait un Data Analyst ?

Un Data Analyst croise les données d’une entreprise avec celles qui se trouvent sur les canaux digitaux et le web. Son objectif est d’interpréter ces données, en comprendre la valeur afin que le dirigeant puisse s’en servir au profit de son entreprise. Pour y parvenir, il va mettre au point des algorithmes et des modèles d’analyse afin de rassembler et traiter ces données. Il collabore avec le Data Scientist dans ces démarches.

Ensemble, ils cherchent les sources de données les plus pertinentes, ils les internalisent et les externalisent. Ils en font l’évaluation et les restituent dans le système d’information. Ces deux professionnels mettent en œuvre des compétences informatique, statistique et leur connaissance des bases de données. Étant donné que le Data Analyst a pour mission d’augmenter le nombre de clients de l’entreprise, il analyse l’impact des actions marketing.

Pour cela, il suit les outils Data mining. Il essaie de comprendre les tendances de consommation ou d’achat des clients, détermine leurs besoins et élabore leur profil. Si le métier de Data Analyst vous intéresse, sachez qu’il exige un sens de l’organisation et de la rigueur. Vous devez être également passionné des statistiques et des chiffres pour réussir.

Vous devez aussi être une personne de confiance capable de respecter les règles de confidentialité. Le fait est que les données que vous collectez, triez, stockez et traitez sont sensibles et stratégiques. Comprenez aussi que votre rôle au sein d’une entreprise est important puisque votre mission d’analyse figure parmi la stratégie de celle-ci.

Les formations à suivre pour devenir Data Analyst

Être titulaire d’un Bac + 4 ou d’un Bac + 5 en informatique, statistiques, marketing ou management. Voilà la base pour occuper le poste de Data Analyst. Cependant, à ce jour, il n’existe encore que peu de formations spécifiques dédiées au métier de la Big Data. Voici quelques exemples : niveau Bac + 3, licence professionnelle métiers de l’informatique. C’est un cursus que vous pouvez suivre à l’Université de Bourgogne.

Pour une licence professionnelle métiers du décisionnel et de la statistique, filière ingénierie de données, c’est à l’Université de Pau. Pour le parcours Data mining, c’est à Paris Descartes. Il y a aussi le parcours Data Analyst, Master 2 de l’IA School. Il s’adresse à ceux qui ont déjà suivi le Master 1 en Artificial Intelligence & Management de l’IA School, vous pouvez voir ici pour plus d’informations. Vous pouvez y être admis si vous êtes titulaire d’un Bac + 4 en informatique, en mathématiques, ingénieur ou statistique.

L’admission est possible si vous avez un niveau intermédiaire en programmation Python, R et en mathématiques. Pour un niveau Bac + 5, le Master MIAGE, c’est via un parcours en Data Science à l’Université de Rennes. Pour un niveau Bac + 6, un Master spécialisé, c’est à l’Ensimag + EMSI École de management de Grenoble.

Optez pour les secteurs classiques

Trois secteurs dont la restauration, le commerce et les services à la personne, offrent le plus d’emplois à mi-temps que d’autres. Les profils courants qui arpentent ces domaines sont les étudiants ou les personnes avec des impératifs familiaux, qui cherchent à reprendre progressivement une activité. Toutefois, comme les conditions sont généralement précisées dans l’annonce, ces secteurs ne sont donc pas propices à la négociation.

Offrez vos services aux petites entreprises

La recherche d’emploi à temps partiel est moins aisée en dehors des secteurs évoqués précédemment. Pour y remédier, intéressez-vous aux petites et moyennes entreprises. En effet, faute de budget pour des recrutements à temps plein, elles cherchent parfois des profils à mi-temps. D’ailleurs, c’est la nouvelle tendance actuelle.
Une PME peut, par exemple, solliciter le service d’un expert-comptable, uniquement pour quelques heures hebdomadaires. Plusieurs opportunités peuvent donc s’offrir à vous, selon la réputation de vos qualités de service, dans le cas où vous souhaitez augmenter votre temps de travail. Ainsi, vous avez une souplesse et une flexibilité de postuler auprès d’une seconde ou une troisième structure.

Apprenez à négocier auprès des employeurs

Trouver un emploi à mi-temps est de moins en moins associé à la précarité. En effet, dans le cadre d’une recherche de flexibilité, cela se fait de plus en plus. L’enjeu est donc de négocier auprès des employeurs, dans ce genre de situation, afin qu’ils vous accordent un trois ou quatre cinquièmes. Lors des négociations en entretien de recrutement, sachez que cela est de plus en plus évoqué.
Au final, certaines entreprises recrutent un postulant à mi-temps alors qu’elles recherchent à la base, des candidats à temps plein. Au cours des dernières années, cette situation a pas mal évolué. En raison de leur temps effectif de travail hebdomadaire compté, les salariés à temps partiel sont plus efficients.

Pensez au statut d’indépendant

Pour bénéficier d’une certaine autonomie, l’autre option est d’être totalement maître de son temps. L’objectif ici n’est pas de monter sa propre entreprise, mais d’opter pour des alternatives plus pertinentes telles que vendeur à domicile ou encore le statut de téléprospecteur indépendant.
Ces secteurs n’arrêtent pas de recruter et ils sont en évolution constante. Le statut d’indépendant vous offre ainsi une grande flexibilité, notamment si vous êtes à la recherche d’un complément de revenu, ou si vous cherchez à en faire une carrière.

L’importance de l’engagement écologique

Pour une transition écologique vraiment efficace, les gestes individuels sont encouragés et applaudis. En effet, il faut que chacun commence à apporter des changements dans son comportement de tous les jours. Moins gaspiller, réduire son empreinte carbone, manger sain et frais, cuisiner, etc. sont autant d’habitudes à adopter. Il faut aussi avoir le réflexe d’éteindre dans la pièce qu’on vient de quitter et si possible, entreprendre des travaux d’isolation.

Cela permet de réduire l’utilisation des systèmes de chauffage et donc des ressources. Ce ne sont là qu’un aperçu de ce qui peut être réalisé par chacun, ce sont des actions indispensables. Cependant, il faut admettre qu’ils ne suffisent pas, il faut des actions collectives. L’objectif est de mettre en place de nouvelles manières de consommer mais ensemble. Le fait de mener des actions collectives permet de faire davantage, interpelle davantage, donne du courage et du soutien.

Il existe différentes formes d’engagement en faveur de la transition écologique. Mais quel que soit votre choix, il est forcément bon, il n’y en a pas un meilleur qu’un autre. Tournez-vous vers l’action collective qui vous séduit le plus. Peut-être que vous êtes attiré par les manifestations ou plutôt par les actions ludiques. Ou bien vous voulez participer à la sensibilisation du public, le lobby et la réflexion.

Vous engager, de quelles manières ?

Un master en environnement sur esi-business-school.com peut être un atout qui vous permet d’être plus efficace dans votre engagement écologique. Comment cela ? Il s’agit d’un master pluridisciplinaire professionnalisant. Cette formation bac + 5 forme aux métiers de l’ingénierie écologique, de l’expertise naturaliste, de la gestion de l’environnement, etc.

C’est une formation qui vous permet d’acquérir des compétences pointues dans plusieurs domaines. Par exemple, en développement durable, en gestion des milieux aquatiques et en prévention des inondations. Il y a aussi la connaissance et la conservation de la biodiversité. Vous allez maîtriser la façon de communiquer, sensibiliser et former à la biodiversité. Avec un master en environnement, vous pouvez viser un emploi dans la gestion des ressources aquatiques. Un autre débouché de cette formation, c’est un métier portant sur la mise en œuvre de projets environnementaux.

Vous pouvez aussi postuler dans la gestion territoriale, dans la recherche scientifique sur la biodiversité, etc. Vous serez à même de mener à bien la conception, la gestion et la mise en œuvre des actions de sensibilisation. Vous aurez les capacités techniques nécessaires pour la formation et l’éducation dans le domaine écologique. Vous posséderez les compétences requises pour établir un plan d’intervention en vue d’entreprendre des changements d’envergure.

En sortie de master, vous pourrez maîtriser les méthodes et outils pour protéger et éventuellement restaurer la biodiversité. Élaborer des études environnementales et des plans de gestion sont à votre portée. Bien sûr, vos acquis dépendent de votre parcours en master en environnement.

L’immobilier, un placement intéressant

Parmi les meilleurs placements, l’immobilier arrive en très bonne position. La pierre est toujours un des placements préférés des Français. Les options sont nombreuses pour investir dans l’immobilier : dans les immeubles commerciaux, les maisons, les appartements, les parcs à roulottes, les fermes, etc. Il y a des biens qui nécessitent un gros capital, c’est le cas des maisons, des bâtiments pour les opérations commerciales ou certains terrains. Par exemple, vous pouvez acheter un bien à un prix bas et le revendre plus tard avec une marge confortable. Vous pouvez aussi l’aménager et le faire louer pour en percevoir des revenus régulièrement. L’investissement locatif meublé peut être une solution intéressante mais prenez le temps de bien réfléchir à la localisation du bien, à son accessibilité, etc. Tenez aussi compte de la crise économique actuelle, ce qui suppose qu’il y a des risques de difficulté financière de vos locataires. Quant aux Fonds d’investissement immobilier (FCPI), vous avez la possibilité d’en acheter et d’en vendre comme vous le souhaitez. C’est un peu comme sur le marché boursier, et de ce fait, ils peuvent être à prix bas mais assez faciles à investir comme les autres biens immobiliers. Connaissez-vous l’investissement en loi Pinel ou le dispositif Malraux ? Le premier consiste à acheter un bien neuf dans l’objectif de le louer, ce qui vous permet de défiscaliser. Envie de tout savoir sur les avantages fiscaux de la loi Pinel, suivez ce lien. Quant au deuxième dispositif, il permet une défiscalisation sur la base de la somme investie dans les travaux de rénovation ou de restauration entrepris. En tout cas, quel que soit l’investissement immobilier que vous visez, le bien doit avoir une signification pour vous, achetez-le avec une marge de sécurité et assurez-vous de le gérer de façon efficace. Autre conseil : conservez vos actifs sur le long terme, remboursez petit à petit vos dettes tout en augmentant progressivement vos loyers et au moment de la retraite, ou même avant, vous disposez ainsi d’un flux de trésorerie non négligeable.

Différents placements performants

Vous n’y pensez peut-être pas mais les énergies renouvelables représentent aujourd’hui un placement performant. L’éolien et le solaire, l’hydraulique et la géothermique ainsi que d’autres sources d’énergie renouvelable ont de beaux jours devant eux et il est temps d’y investir. Pour cela, achetez des actions des entreprises qui se spécialisent dans ce secteur. Il existe également d’autres idées de placement alternatifs moins connues mais qui peuvent vous apporter d’excellent rendement. Il y a par exemple les parkings, dont le taux de rendement peut atteindre les 10 %, la forêt, pour vous constituer un patrimoine sur le long terme. Le placement dans le vin peut aussi être performant, de même qu’acheter des parcelles de vignes. Évidemment, vous pouvez aussi investir en bourse. Acheter des actions dans une ou plusieurs entreprises cotées est un placement à envisager car vous en devenez l’un des propriétaires en quelque sorte. Ainsi, lorsque la valeur de telle entreprise monte, la valeur de vos actions monte aussi et lorsqu’elle gagne de l’argent, vous aussi. Pour réaliser un bénéfice, vous pouvez choisir de vendre vos actions mais pour des rendements plus élevés, optez pour un investissement dans des entreprises individuelles. Pour information, le marché boursier connaît une croissance régulière, à hauteur de 7 % par an environ. Privilégiez le marché asiatique qui fait de belles percées depuis quelques années, et le Vietnam en particulier. Les ETF sont aussi des placements à fort rendement. Même s’ils sont volatiles, les fonds indiciels sont plus performants et vous assurent donc des rendements plus élevés. De plus, leurs frais sont plus bas et quoi qu’il en soit, ils génèrent de meilleurs résultats qu’un fonds commun de placement.

Transformer l’idée en projet

Tout créateur d’entreprise débute toujours par un souhait, par un rêve ou par une idée. En général, l’idée peut venir d’une situation particulière, de la vie quotidienne ou simplement d’un coup de tête. Il ne faut pas oublier que le but de tout entrepreneur est de réussir en faisant fructifier son investissement. Il faudra donc procéder à quelques tests sur le marché afin de vérifier la viabilité et la rentabilité du projet. L’idéal est d’établir un questionnaire auquel les consommateurs ciblés pourraient répondre facilement. Le plus indiqué est d’utiliser les forums et les réseaux sociaux pour avoir des résultats en temps réel. Dans le monde des affaires, cette étape est ce que les professionnels appellent étude du marché.

Créé un business plan

Tout comme l’étude du marché, la création d’un business plan est une étape obligatoire pour tout ce qui souhaite créer une PME. Le business plan est l’unique document qui permet à l’entrepreneur de concrétiser son idée par écrit. En d’autres mots, ce dernier permet à l’entrepreneur de trouver des partenaires ou d’éventuels investisseurs pour financer son projet. À noter qu’un business doit être établi de façon à permettre aux personnes tierces de comprendre le concept de l’entrepreneur, mais également de comprendre les futures activités de l’entreprise.

Trouver un moyen pour financer le projet

Tout comme les multinationales et les grandes entreprises, la création d’une PME requiert un financement pour créer le capital social, mais surtout pour faire aboutir le projet. En principe, il existe quatre types de financements :
– Le financement interne qui est constitué par l’apport de chaque associé.
– Le financement bancaire qui est attribué par des institutions bancaires à titre de prêt
– Le financement externe qui provient de personnes autres que les associés
– Le financement du gouvernement

Intégrer différentes sociétés pour exploiter tout votre potentiel

En devenant un manager de transition, vous aurez plus de chance d’exploiter tout votre potentiel et de travailler dans différentes sociétés qui œuvrent dans divers domaines. C’est beaucoup moins monotone. Qui plus est, vous continuerez d’apprendre différentes choses et manières de faire.

Les prestations ne durent que quelques mois. Un manager de transition, comme son nom l’indique, ne reste que pour une durée bien déterminée à l’avance dans une entreprise. Bien évidemment, vous aurez toujours des objectifs à atteindre durant le temps que vous serez en poste.

Attention, il est important de noter que les cabinets de management de transition, à l’instar de https://adequancy.com, ne recrutent que des managers avec des années de métier pour rejoindre leurs rangs. Il en va tout de même de leur réputation. Vous devez, de ce fait, commencer par travailler dans une entreprise pour gagner vos galons avant d’envisager d’être un manager de transition.

Une nouvelle tendance dans le domaine de la gestion d’entreprise

Le management de transition est une nouvelle tendance dans le domaine de la gestion d’entreprise, et ce, pas uniquement en France, mais aussi dans le monde entier. Aussi bien les grandes sociétés que les petites entreprises font appel à un cabinet de management de transition pour le remplacement, pour un temps prédéterminé, de leur manager parti en milieu de l’année d’exercice. L’intervention du manager de transition leur permet de continuer leur activité quoiqu’il arrive.

Les demandes en manager de transition peuvent se faire pour la gestion de toute une société ou encore pour une seule branche : RH, juridique, financière, etc. Vous pouvez donc garder votre spécialisation.

Plus rapide, plus simple et surtout permettant d’avoir un regard neuf sur la direction de leur activité, le management de transition ne souffre pas de la crise. Vous ne risquez donc pas de vous retrouver sans mission. Et ce sera d’autant plus le cas si vous avez intégré un cabinet spécialisé dans ce domaine qui est déjà connu sur le marché. En tout cas, Adequancy fait partie de ces cabinets de management de transition de bonne réputation qu’il vous est possible d’intégrer.

Les sites de formation à connaître

Que vous soyez en reconversion professionnelle, un jeune fraîchement diplômé ou juste ayant envie d’apprendre, les sites de formation en ligne gratuites ne manquent pas. Il y a par exemple Udacity, classé dans le top des meilleurs sites de formation gratuite. Il propose différents cours par niveaux, donc vous pouvez évoluer en passant de l’un à l’autre selon votre rythme. Parlons également de edX, un site qui propose, à titre gratuit, les mêmes cours que ceux de Harvard, du MIT, de UBC et de Berkeley. Sans rien payer, vous accédez aux cours des plus prestigieuses universités de la planète. Quant à Khan Academy, des formations en Sciences, en Maths, en Art, entre autres matières vous sont proposées. Vous pouvez y recevrez un excellent enseignement et des cours variés.

Quelle formation allez-vous suivre ?

D’autres sites de qualité proposent des formations gratuites. Parmi eux, Coursera prodiguent des cours de plusieurs célèbres universités. Ces cours sont présentés sous forme de manuel interactif avec quiz et vidéos. Les formations du site Saylor sont également haut de gamme. Vous avez le choix entre Business, Art History, Biology, Communication et d’autres encore. Les cours sont sanctionnés par un examen final et une évaluation de vos acquis. Pour vous perfectionner dans le monde du Web, les formations de Class Central sont très intéressantes. Ce site propose plus de 360 cours en Data et plus de 1500 cours en développement Web.

La technique du phishing et de récupération de mot de passe

Le phishing est sans doute, l’une des techniques les plus utilisées par les hackers pour effectuer leur méfait sur le net. D’ailleurs, les français sont l’une de leur victime préférée. Ce type de hacking consiste à communiquer avec vous par les outils du net, en vous faisant croire que vous connaissez la personne avec qui vous discutez, ou en vous mettant en confiance totalement. Dès lors que vous êtes en totale confiance, le hacker va vous soutirer des informations sensibles ou même vous demandez de l’argent, votre mot de passe ou encore le numéro de votre carte bancaire. Afin d’éviter d’être pris dans ce genre piège, il est toujours conseillé de regarder le site que vous visitez, s’il est sûr et bien sécurisé. L’adresse URL du site doit, dans ce cas, commencée par https. Par ailleurs, vous devez absolument éviter d’ouvrir ou de répondre aux mails qui vous semblent douteux. Par exemple, que le nom de domaine de l’adresse e-mail du diffuseur de message est trop générique alors qu’il se dit être une société. Il en est de même si ce dernier fait trop de fautes de français. Si tel est le cas, évitez également d’ouvrir les fichiers attachés qui peuvent être des virus. Une autre précaution très importante c’est de ne jamais divulguer votre mot de passe à votre interlocuteur. Et enfin, faites un contrôle quotidien de votre antivirus qui doit être constamment à jour. Concernant la récupération illégale de mot de passe, les pirates informatiques se servent de logiciels spécifiques pour trouver votre mot de passe. Ces logiciels ont la capacité de faire le décryptage en essayant toutes sortes de combinaison possible afin d’entrer illégalement sur votre page web. Pour éviter de ce faire voler votre mot de passe dans ce cas, pensez à utiliser des passwords intelligents. Évitez d’utiliser des combinaisons trop simples ou qui soient des caractères trop usuels comme votre date d’anniversaire ou celle de vos enfants. Par ailleurs, le mot de passe doit toujours être assez long avec des lettres en majuscule et en minuscule, des chiffres et des symboles. Pensez également à changer de mot de passe au moins tous les 3 mois et à les diversifier sur les différents sites et pages que vous visitez. Et enfin, téléchargez des anti-spyware et installez-en sur votre ordinateur. Ces derniers pourront détecter et supprimer les logiciels qui tentent de voler vos informations.

Les sites fakes et les rançongiciels

On peut aussi tomber sur des sites fakes ou des faux sites web sur la toile. Ces derniers sont, la plupart du temps, des sites qui copient la version officielle d’une page afin de soutirer des informations de votre part. Il faut donc, être bien attentif lorsque vous naviguer sur les sites que vous visitez en faisant une première vérification sur l’adresse url de ces derniers. Elle doit toujours commencer par https. C’est surtout important quand vous voulez procéder à un achat en ligne et que vous comptez payer via la plateforme. Ce sera aussi utile lorsque vous renseignez un formulaire en ligne qui demande trop d’informations personnelles. Et enfin, il faut aussi éviter d’ouvrir trop hâtivement des liens qu’on met dans le contenu d’un mail que vous recevez. Il est probable que ces derniers soient malveillants. Pour ce qui est des rançongiciels, ou plus connu comme ransomware, comme le phishing, c’est aussi l’une des techniques les plus prisées par les pirates. Il s’agit d’un logiciel de chiffrage qui va voler des données sensibles au niveau de la victime. Le hacker va ensuite arnaquer et user de moyens de chantage pour demander de l’argent à sa victime. Ce dernier va alors dire qu’il ne vous donnera la clé d’accès à vos informations sensibles que si vous payez. Afin d’éviter ce désagrément, il est important de toujours faire des sauvegardes de vos données sensibles. Vous devez également, évitez, comme avec toutes les autres méthodes, d’ouvrir des mails et des pièces jointes douteuses. Il faut aussi faire attention aux fichiers attachés qui ont des extensions.exe,.lnk,.pif et autres. Et enfin, il faut faire attention aux expéditeurs inconnus et surtout ceux qui prennent les noms de vos connaissances, mais qui ont changé d’adresse. Pour terminer, 3 autres méthodes sont aussi utilisées par les hackers. Il s’agit entre autre, des malwares ou la diffusion de logiciel malveillant, la clé USB contaminée ainsi que le réseau wifi fake. Ces dernières visent à infecter votre appareil de virus pour en détruire le contenu ou pour espionner vos actions.

Accepter l’échec de vos collaborateurs

Lorsqu’on dit qu’il faut essayer de tolérer l’échec, cela ne va pas dire que vous devez accepter l’incompétence. Savoir tolérer un échec donne à vos employés la possibilité d’explorer des terrains inconnus. Par exemple, on peut supporter un produit qui n’est pas acceptable par la clientèle, mais à condition que cela ne soit pas le résultat d’un travail bâclé. Les tentatives improductives ne doivent pas être considérées comme de véritables échecs, mais portées avec un regard de professionnalisme. L’idée est de permettre aux collaborateurs de se lancer sans crainte dans un projet innovant, quel que soit le résultat final.

Instaurer un climat de respect des idées

L’un des moyens de faire émerger et de développer la potentialité de vos employés, c’est de faciliter la prise de parole pour tout le monde ainsi que la formulation des critiques constructives. Vous devez faire en sorte que chaque membre de votre équipe s’exprime sans crainte, peu importe leur niveau hiérarchique. Cette démarche consiste à faire progresser les idées. Pour ce faire, l’idéal est d’organiser des journées de l’innovation avec votre équipe au moins une fois à chaque semestre. Ce sont des moments durant lesquels les employés peuvent exprimer leurs idées et les échanger avec les autres.

Favoriser une organisation plus horizontale

Une organisation horizontale est l’un des moyens de laisser à vos collaborateurs la liberté de prendre des initiatives. Cela permet de mettre plus l’accent sur la compétence et de contribuer à inciter la créativité ainsi que de faciliter l’émergence d’idées innovantes. Néanmoins, l’équipe doit être soumise à une vision et des règles partagées. En établissant un management participatif, vous devez entre autres revoir l’organigramme de votre entreprise.

Les métiers du web

Avec l’avènement des technologies et la multiplication des utilisateurs d’internet, les métiers du web se retrouvent en tête de la liste de ceux qui attirent et intéressent le plus les jeunes d’aujourd’hui. En France, le secteur du web a créé près de 700 000 emplois en seulement 15 ans. Flexibilité, autonomie, rémunérations attractives, et cela, même en début de carrière sont les raisons expliquant l’attrait des jeunes pour les métiers du web. En effet, ce secteur est une véritable aubaine pour les jeunes qui cherchent un métier porteur et prometteur.

Les métiers du web qui reçoivent le plus de candidatures sont :

– le développeur web : c’est celui ou celle qui conçoit et développe les sites internet. Il joue un rôle important dans la facilité de navigation et l’ergonomie des sites.
– le rédacteur web : c’est la personne qui se charge de rédiger les contenus ou les textes destinés à enrichir le site de l’entreprise. Ce professionnel est souvent amené à créer un contenu optimisé SEO en vue d’optimiser la visibilité d’une entreprise sur le net.
– le trafic manager : étant au croisement de la communication et du marketing, ce métier a comme objectif de générer un maximum de trafic sur le site de l’entreprise. Le trafic manager se charge de développer l’audience du site en question et la base de nouveaux clients.

Les métiers de la science

Parmi les métiers qui intéressent le plus les jeunes d’aujourd’hui, on retrouve en seconde position les métiers de la science. Sur www.vocasciences.fr : les métiers de la science ne se comptent pas en dizaine, tellement ils sont nombreux. Parmi ces métiers, l’ingénierie en informatique fait partie des métiers qui attirent plus les jeunes. La raison est simple : ce professionnel peut opérer dans de nombreux domaines d’activités relativement différents : les réseaux, les télécommunications, l’industrie, les systèmes d’information, etc.

Le métier d’architecte attire également de plus en plus les jeunes, car il est considéré comme un métier d’avenir et surtout très prometteur.

Il existe également d’autres métiers de la science qui sont devenus de plus en plus populaires : agronome, médecin, pilote, microbiologiste, laborantin, chimiste, etc.

Différences entre le choix des jeunes filles et celui des garçons

En termes de métier, on constate des différences entre le choix des filles et des garçons. Ces derniers sont majoritairement attirés par les métiers de la science et l’ingénierie, tandis que les filles s’intéressent plutôt aux métiers littéraires comme le journalisme et le marketing. Des études révèlent également que les jeunes filles les plus brillantes ne sont pas aussi ambitieuses que ce que leurs performances en école portent à croire. Par ailleurs, les meilleurs élèves issus des milieux en difficulté sont quatre fois moins enclins à avoir des aspirations ambitieuses que les jeunes performants issus des milieux les plus aisés.